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Sorties : il est urgent d’attendre !

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Les cessions des entreprises détenues par les fonds se font toujours au compte-goutte malgré la pression des investisseurs pour le retour de liquidité et l’allongement de la durée de détention flirtant avec les sept années en moyenne.

No exit sauf pour les pépites. Tel pourrait être le mantra qui a marqué le marché du private equity depuis près de trois ans. Alors que la guerre commerciale de Donald Trump a réduit en cendres les espoirs de reprise du M&A, les fonds lestés de milliers de participations rongent leur frein et reportent des process attendus de semestre en semestre. Selon un rapport de Bain & Company, les fonds de capital-investissement ont en portefeuille 28.000 entreprises à vendre dans le monde, représentant 3.200 mds$. En Europe, Goldman Sachs estimait fin 2024 que quelque 800 entreprises valorisées plus d’1 md€ et détenues par des actionnaires financiers depuis près de six ans seraient mises sur le marché. Mais l’attentisme ambiant n’a fait qu’allonger la durée de détention des actifs en portefeuille, passée de cinq ans en moyenne à près de sept ans. En France, la publicatio

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