Saisi début janvier par la Caisse nationale de l’Assurance Maladie (CNAM) et par le Conseil de l’Ordre, il considère que ces plateformes délivrant des arrêts maladie ne respectent pas à la lettre la législation en vigueur en matière de télémédecine et de protection des données de santé.
L’éditeur du site marseillais a interjeté appel de cette décision.