Les plans prévoient une restructuration juridique du groupe par des opérations de dissolution-confusion et une réduction massive du passif déclaré négociée avec les créanciers.
En proie à des difficultés financières depuis 2018 et victime, l’année suivante, d’une cyberattaque avec demande de rançon, ayant entraîné l’arrêt total des lignes de production pendant plus de trois semaines, le groupe avait sollicité la protection du TC de Lyon, lequel a ouvert, au bénéfice des huit sociétés, une procédure de redressement judiciaire le 27 février 2020.