A elles cinq, elles comptent près de 500 membres, ce qui représente une mise à disposition, dans un premier temps, de 2000 heures de conseils.
L’ARE estime toutefois que les volontaires doivent disposer des outils nécessaires au traitement des entreprises en difficulté pour leur donner un conseil utile.
Aussi, le 20 mars dernier, elle a adressé un email au directeur des Affaires Civiles et du Sceau, afin de demander à ce que les tribunaux puissent, sans délai, ouvrir en voie numérique les procédures de sauvetages pour payer les salaires et sauver les emplois.
Informations : http://www.are.